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NutritionSanté naturelle

Se désintoxiquer ou se détoxifier après les fêtes de fin d’année

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Voilà, c’est fini, les fêtes de fin d’année sont terminées et nous avons eu beaucoup de plaisir à partager avec nos proches ou nos ami(e)s, ces moments festifs si rares et quelques fois non autorisés mais qui nous ont permis d’emmagasiner beaucoup d’amitié et d’amour. De cela, nous n’avons pas à nous culpabiliser, bien au contraire, et nous pensons déjà à décupler ces éléments-là l’année prochaine. En effet, le plaisir et le rire sont les fonctions primordiales pour qui veut « bien se porter » et accroître son potentiel vital.Nous n’omettons pas non plus notre système immunitaire mis à rude épreuve dans ces moments froids, de pandémie virale et de sinistrose organisée.

« Il faut toujours chercher à mieux manger certes, mais il faut le faire avec l’intelligence du mental et l’intelligence du cœur. »

Nous sommes encore en hiver et pourtant le printemps et les beaux jours sont à notre porte et vont arriver à grands pas. Les jours se rallongent, nous le voyons chaque jour au réveil et le soir en rentrant du travail.

Après le solstice d’hiver (21 décembre), nous allons peu à peu vers plus de lumière (ceci explique le pourquoi d’avoir fixé la naissance du Christ à cette période pour montrer, qu’il apporte la Lumière) jusqu’au prochain solstice d’été (21 juin) qui sera le signal pour réduire chaque jour un peu plus la luminosité. Nous retomberons ensuite dans l’obscurité.

Il est donc temps en cette période de renouveau, après les excès des fêtes de fin d’année, de nous désintoxiquer ou détoxifier, pour éliminer les toxines accumulées très souvent par une alimentation très et trop riche en sucres et en gras (sans omettre les boissons inadaptées à notre physiologie humaine).
C’est donc une période cruciale pour notre organisme.

Qu’en est-il de notre corps et de nos organes que nous avons tous plus ou moins malmenés pendant cette période ? Période durant laquelle notre sommeil a également été plus ou moins écourté ou perturbé ? Durant laquelle notre corps a subi des agressions normales et permanentes de micro-organismes nommés microbes qui ne peuvent souvent (et cela constitue la différence entre l’allopathie et la naturopathie) s’implanter que sur un terrain spécifique pour sa prolifération ? Ceci explique aussi pourquoi certaines personnes développent chaque année, et toujours à la même période, des pathologies respiratoires telles que la grippe ou des bronchopneumonies .

Certains terrains en cette période sont favorables à cette prolifération, d’autres ne développent aucune pathologie infectieuse.
J‘aime me souvenir d’une image relatée de nombreuses fois par P.V.Marchesseau (1911 – 1994) dont j’ai été l’assistant et je pense l’ami. Cette image me parle énormément et je la relate à chacune de mes conférences pour rendre hommage à cet homme extraordinaire et considéré comme le Père de la Naturopathie Française.

« Est-ce le moustique qui engendre le marécage ou est-ce le marécage qui engendre le moustique ? »

Femme pensiveCette question est primordiale car durant l’hiver, notre terrain est susceptible d’être fragilisé à cause de la mauvaise alimentation et du froid. Cela fragilise surtout un organe de première importance d’un point de vue désintoxication :
le foie ! C’est l’organe le plus chaud de notre organisme. Est-ce pour cela que les anciens bassinaient le lit et utilisaient un élément non négligeable pour réchauffer le filtre hépatique : la bouillotte chaude ? C’est en effet un cadeau indispensable pour un naturopathe.

Nous avons mangé comme si nous allions manquer plus tard et nous avons stocké des réserves… Est-ce pour une hibernation en souvenir des disettes du passé ? Bien sûr que non, mais notre corps n’a-t-il pas souffert de ces éléments plus ou moins nocifs parce que pris en trop grande quantité ou parce que non conformes à notre physiologie humaine ?
Ainsi en est-il de certains éléments qualifiés d’aliments par les fabricants mais qui néanmoins sont et restent des éléments pernicieux pour notre équilibre physique et psychique.

« Tout est poison, rien n’est poison, seule la dose compte. » Paracelse

La fin des fêtes c’est aussi la période où nous nous sommes « lâchés », où chacun de nous a pris de bonnes résolutions : « je vais moins manger le soir, me coucher plus tôt, moins regarder la TV, faire davantage de sport, j’arrête de fumer, de boire de l’alcool, je me mets au bio, je vais dire plus souvent « je t’aime » à mes proches ».

Et si nous commencions aujourd’hui même ? Et si nous mettions en pratique pour concrétiser notre bonne volonté et nos nouvelles dispositions ?
Rien de plus simple.

Ce soir, c’est décidé, je pratique chaque semaine une monodiète pour laisser mon organisme au repos » (voir le livre « Le Grand Livre de la Naturopathie »).

Comment peut-on par une pratique nutritionnelle, régulière et à la portée de tous, préparer la nouvelle année et se prémunir des déboires immunitaires de l’hiver afin de rester en pleine forme ?

Qu’est-ce qu’une monodiète et quels en sont les bienfaits sur notre santé/vitalité ?

Durant nos fêtes de fin d’année, nous encrassons notre organisme, ce qui entraîne un épuisement de nos cellules. Normalement, nos déchets organiques et/ou métaboliques sont éliminés par nos organes « éliminateurs » nommés filtres bio-émonctoriels prévus à cet effet.

Bouillon de légumesCependant, dans certains cas (froid, stress, fatigue, décompression, problèmes psychologiques…), ce mécanisme est enrayé et nous nous retrouvons en sous-vitalité, épuisés, malades, encrassés et susceptibles d’engendrer un mal-être se traduisant par une maladie.

Si nous lui laissons le temps et la force nécessaire, notre organisme pourra se régénérer pour accomplir ce nettoyage. La monodiète régulière et intelligente peut être cette technique régénératrice, tellement facilement applicable par chacun d’entre nous, sans exception.

Une monodiète consiste à ne consommer qu’un seul aliment biologique durant un repas (par exemple le soir), une demi-journée, une journée complète ou plus si besoin est (tout en restant dans la limite de trois jours environ afin d’éviter des crises curatives importantes et désagréables).

Là encore, comme dans bien des domaines, le bon sens et la logique vous guideront pour choisir votre rythme, vos ressentis et vos envies. Voilà pourquoi il est plus facile et plus recommandé de faire une monodiète, car elle va agir en souplesse. Peu ou pas de réactions curatives à craindre donc, en respectant bien entendu les limites conseillées.

Nos anciens pratiquaient ces monodiètes à chaque changement de saison. Durant cette monodiète qui ne nécessite pas l’arrêt des activités professionnelles, on s’abstiendra bien entendu de sucre, de tabac, d’alcool sous toute forme ainsi que de café ou autres boissons excitantes.

La quantité d’aliments ingérés sous forme de monodiète devra, bien entendu, être correcte (pour éviter les frustrations et les envies) mais sans excès.

Les craintes de dénutrition au cours d’une monodiète d’une demi-journée ou d’une journée sont de fausses craintes, entretenues par une méconnaissance du processus de désintoxication réalisée.

Principe important : au cours d’une monodiète, plus l’aliment consommé est cuit et plus il est drainant et non nutritif.

En effet, quand nous mangeons des aliments crus, nous extrayons les éléments nutritifs tels que vitamines, enzymes, oligo-éléments… Nous nous nourrissons et ce sont nos cellules qui reçoivent ces éléments indispensables.

Quand nous ingurgitons des aliments cuits, ceux-ci ont perdu une grande part de leurs éléments nutritifs. Cependant, il reste les fibres qui servent de ballast au niveau intestinal et nous permettent, entre autres, un meilleur péristaltisme intestinal et donc une défécation naturelle. Quand on sait l’importance de la qualité de notre flore intestinale et de nos éliminations quotidiennes, on ne peut qu’améliorer notre vitalité.

Durant ce temps relativement court de restriction alimentaire, l’organisme doit puiser dans ses réserves. C’est ainsi que, grâce à des monodiètes répétées dans le temps, on peut sans risque drainer les déchets et résidus métaboliques qui sont pour nous, praticiens de santé naturopathes, à l’origine d’un grand nombre de nos pathologies courantes et des plaintes répétées de fatigue ou dépression.

Il est à noter qu’avec une pratique régulière de monodiète, on réalise un drainage organique aussi important que durant un jeûne sans les inconvénients tels que les crises curatives (explosions spectaculaires et massives de déchets au niveau de nos émonctoires – peau, reins, intestins-foie-vésicule biliaire et système respiratoire).

Pour reprendre une expression de P.V.Marchesseau : « la monodiète est un jeûne déguisé mais sans les inconvénients, notamment au niveau social ».

Par ailleurs, au cours de cette pratique, notre fonction hépatique (garante de notre « forme ») est réduite au minimum, permettant ainsi à notre foie de se « dégorger », de se régénérer et d’accomplir les multiples fonctions pour lesquelles il a été conçu, notamment au niveau immunitaire, hormonal, émonctoriel…

Pour « une nouvelle année réussie » et pour prévenir les pathologies hivernales, le but de ces monodiètes est de purifier le sang, c’est-à-dire de le nettoyer afin de lui permettre de circuler plus librement et ainsi de mieux alimenter nos cellules, mais aussi de mieux les débarrasser de leurs déchets métaboliques (résultants de leur travail fonctionnel).

Ainsi, durant une monodiète, aucune énergie n’est requise pour notre métabolisme digestif, réduisant ainsi un « gaspillage » de force vitale qui pourrait faire défaut après les fêtes et des bouleversements organiques que cela entraîne inévitablement avec les conséquences sur notre forme et sur notre système de défense.

La logique veut que les aliments consommés au cours de cette monodiète soient biologiques, afin d’éviter l’encrassement de l’organisme par des pesticides, fongicides et additifs chimiques. Bien entendu, on évitera également à la suite de ce nettoyage en douceur de reprendre les mauvaises habitudes passées. Quelques monodiètes sont tout à fait indiquées à l’aube de cette nouvelle année pour conserver, acquérir ou accroître son potentiel vital si durement acquis et pour permettre à notre organisme cette transition quelques fois pénible pour notre corps.

La pomme :

Compote de pommesOn peut choisir les pommes cuites ou les compotes de pommes biologiques, sans sucre, ni miel (on peut rajouter une pincée de cannelle, mais attention cependant, car la tradition dit qu’elle est aphrodisiaque…).

La monodiète de compote de pommes ou de pommes cuites est une monodiète simple à réaliser, généralement acceptée par tous (enfants et grands), pas désagréable au goût, ne laissant pas une sensation de faim et ayant une prédisposition pour un drainage intestinal et hépatique.

Elle est utile pour conserver la forme et se préparer aux rigueurs de l’hiver. La pomme est aussi diurétique et donc antirhumatismale, laxative mais très douce, hypocholestérolémiante… Pleine de bienfaits.

Le bouillon :

Le bouillon de légumes ou la soupe de légumes sans beurre ni matières grasses étaient fort appréciés et utilisés par nos anciens qui la pratiquaient à chaque changement de saison ou après des repas trop copieux. À noter cependant d’éviter le rajout de tomates cuites qui acidifient trop l’organisme, déjà suracidifié.

Les céréales :

Le riz semi-complet, le millet et le sarrasin sont choisis pour une monodiète classique et basique. Pourquoi semi-complet ? Parce que le complet irrite et agresse nos membranes intestinales.

Une alimentation fruitarienne crue n’est pas recommandée en reprise car elle peut provoquer des fermentations et ballonnements intestinaux. Cette monodiète est très indiquée pour les frileux et se pratique plus souvent en hiver.

Les tubercules :

La pomme de terre vapeur ou à l’eau (non frite !) est facile à faire et très rassurante. La pomme de terre que je recommande est la ratte du Touquet ou de Noirmoutier. Cette monodiète est indiquée pour désacidifier un terrain arthritique. Bien entendu, la consommation de ces pommes de terre doit être effectuée sans beurre ni matière grasse, on peut seulement rajouter des aromates.

Durant ces moments de repos digestifs, il est conseillé d’aider nos émonctoires, conçus pour éliminer nos surcharges.

Ainsi, on conseillera de boire de l’eau peu minéralisée ou des infusions non sucrées :

  • pour le filtre rénal : queues de cerises, orthosiphon, bouleau, reine-des-prés, saule blanc…
  • pour le filtre intestinal-foie-vésicule biliaire : romarin, gentiane, artichaut, raifort, pissenlit…

Bien entendu, chacun devra trouver son rythme, soit un soir par semaine ou par mois et pourquoi pas une journée par semaine voire plus. Soyez à l’écoute de votre ressenti et de votre bien-être, mais tenez compte aussi de vos disponibilités et de vos envies… car avoir des envies, n’est-ce pas être en vie ?

Les bienfaits de ces monodiètes sont très rapides et très simples à réaliser, on se sent mieux, on récupère plus vite, on dort mieux, on pense mieux, bref notre organisme nous en remercie rapidement par un regain d’énergie, de vitalité et de lucidité.

N’omettons pas également en cette fin de fêtes, les fruits frais, crus, de saison et du terroir !

Consommons des jus de fruits, de légumes crus et biologiques, riches en vitamines, minéraux et enzymes ainsi que les aromates tels que le curcuma, le paprika, la coriandre, le cumin, la cannelle qui possèdent des propriétés désintoxicantes, anti-inflammatoires et stimulantes.

Notre organisme possède des organes primordiaux pour accomplir cette désintoxication, que nous nommons les émonctoires.
Ainsi avons-nous la peau, l’appareil respiratoire, les reins et la trilogie indissociable – intestins/foie/vésicule biliaire.

Femme qui dortBien entendu et en toute logique, il faut dans un premier temps réduire les apports quantitatifs alimentaires, veiller à la qualité de nos aliments, réduire la consommation d’éléments toxiques (café, thé, alcool, sucre, chocolat…) et activer l’élimination des déchets alimentaires mais aussi métaboliques par nos quatre filtres bio-émonctoriels.

Ainsi, en plus de ces modifications alimentaires fondamentales et pour aider nos émonctoires dans leur rôle, il est très intéressant de pratiquer une douche rectale pour faciliter l’élimination des déchets par nos matières fécales quotidiennes (normalement biquotidiennes).

La douche rectale si chère à nos anciens consiste à injecter 100 à 150 g d’eau tiède (l’équivalent de 2 à 3 verres à moutarde) et immédiatement d’aller à la selle. Cela permet d’aider à vider nos intestins.

L’après fête est une période propice pour prendre des probiotiques c’est-à-dire des éléments permettant de réensemencer notre flore intestinale mise à rude épreuve durant la période des fêtes de fin d’année par une alimentation inadaptée.

Autre technique indispensable : le bain chaud qui permet de se détendre, de réchauffer notre foie, organe le plus chaud de notre organisme et ainsi de respecter ses fonctions fondamentales notamment de détoxication.

Le bain peut être aussi source de relaxation, de lâcher prise et permet de prendre un peu soin de soi sans omettre la transpiration qui est normale et qui constitue une épuration émonctorielle non négligeable. À noter que cette épuration cutanée peut aussi se réaliser par un sauna ou un hammam.

Autre élément pour compléter notre cure de désintoxication : l’exercice physique.

« L’exercice physique doit être avant tout une récréation, un plaisir et un moment privilégié pour renouer des liens intimes avec notre corps ».

Cela peut-être simplement la marche rapide, le vélo, jouer au ballon avec son enfant… Cela ne signifie en aucun cas s’éreinter. Il ne faut pas causer un mal plus important que le mal originel et ne plus avoir de « plaisir à bouger ».

Couple à NoëlEt le sommeil ?

Bien entendu, celui-ci est fondamental si l’on veut améliorer notre santé/vitalité authentique principalement à la suite des fêtes de fin d’année. Nous éliminons mieux après une nuit de bon sommeil. Il conviendra donc de se coucher plus tôt, de veiller à la qualité de son couchage, à la température de sa chambre, à la luminosité… Il convient de regarder chaque matin la couleur de ses urines : en effet, après une nuit récupératrice, nos urines sont plus foncées que si nous avons eu une nuit perturbée. En effet c’est durant la nuit que nous préparons nos éliminations du matin.

On pourra s’aider cependant de quelques infusions telles que la mélisse, la passiflore, le mélilot… Certaines plantes seront également conseillées pour régénérer notre foie telles que le Desmodium ascendens, le chardon-Marie, le romarin, l’artichaut… Mais aussi pour drainer les reins telles que la reine-des-prés, le saule blanc, la prêle… Et pour adoucir les intestins comme la mauve (voir le livre « Nettoyer et Drainer Naturellement Notre Foie »).

À noter que ces plantes peuvent être prises en infusion, décoction, mais aussi en compléments alimentaires que l’on trouve maintenant très facilement par correspondance.

Quelques compléments alimentaires sont utiles s’ils sont pris dans un contexte naturopathique c’est-à-dire avec les précédents conseils indispensables. En dehors de cela ils seront utilisés dans une approche anti-symptomatique et deviendront une naturopathie allopathique avec les mêmes défauts.

  • Desmodium tri-actif® aux 3 plantes reconnues pour soutenir le foie (Desmodium ascendens, chardon-Marie et feuilles d’artichaut) > 3 gélules par jour de préférence au moment des repas avec un verre d’eau
  • Detoxik® (formule sans FODMAP) aide aux 3 phases de la détoxification hépatique (fibre d’acacia, chlorella, extrait de brocoli, taurine, chardon-Marie, pissenlit, magnésium, L-méthionine, SOD…). > 1 sachet par jour à diluer dans un grand verre d’eau.
  • Magtorine® (bisglycinate de magnésium, taurine, vitamine B6…). > 4 gélules par jour, en 1 ou 2 prises au début des repas avec un verre d’eau pendant 2 mois.
  • Hépatobile® Artichaut – Chrysantellum (Chrysantellum americanum, racine de gentiane, feuille d’artichaut et racine de radis noir…). > 3 gélules par jour à prendre de préférence au moment des repas avec un grand verre d’eau.
  • Harmonisant Foie (extrait de romarin, baies de genévrier, thym, chardon-Marie, douce-amère). > 3 cuillères à café par jour à prendre diluées dans un peu d’eau avant les repas.

Ces quelques produits indiqués à titre informatif restent bien entendu à la discrétion de chaque thérapeute qui, grâce à son anamnèse et à son bilan de santé/vitalité, pourra juger de l’opportunité de conseiller tel ou tel complément alimentaire afin d’aider la désintoxication d’après les fêtes (en fonction des excès mais aussi de l’âge du sujet).

Avec ces quelques règles relevant du bon sens et de la logique, vous ressentirez très vite les effets positifs pour acquérir ou augmenter votre santé/vitalité mise à rude épreuve.

Répétons-le, il ne s’agit pas de se culpabiliser mais plutôt de se responsabiliser et de ne jamais oublier que si l’Homme est défectible, il est aussi perfectible.

C’est ce que je souhaite de tout cœur.

« Soigner un ou des symptômes, ou guérir une vie entière »

Livres de Christian BRUN
Christian Brun
Professeur de Naturopathiewww.christian-brun-naturo.fr
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