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DDM-Collagene

Il existe 3 grandes catégories de macronutriments dont l’organisme a besoin pour fonctionner correctement : les glucides, les lipides et les protéines. Chaque macronutriment a une grande fonction : les glucides permettent de produire de l’énergie, les lipides permettent de stocker l’énergie et de transporter des éléments et les protéines apportent, entre autres, la structure et les fondations. Selon l’ANSES, un apport en protéines satisfaisant se situe entre 0,83 g et 2,2 g par jour et par kg – soit 10 à 27 % de l’apport énergétique total – pour un individu adulte de moins de 60 ans. Cet apport varie selon l’activité physique et d’autres paramètres physiologiques. Il faut donc l’adapter en fonction de l’hygiène de vie et du profil de chacun. On peut distinguer trois grands groupes de protéines : les protéines membranaires, globulaires, et fibreuses. Ces dernières jouent très souvent ce rôle structurel, comme la kératine qui participe à la construction des poils et des ongles ou encore le collagène, constituant principal des tissus conjonctifs. Ces tissus occupent l’espace entre les organes pour faire une liaison, une protection et un soutien. On les trouve par exemple autour des muscles.

Qu’est-ce que le collagène ?

Le mot « collagène » vient de « colle », il permet, comme son nom l’indique, d’avoir une fermeté et une densité des tissus. Les os, le cartilage, les muscles, les parois des vaisseaux, la peau, les tendons, les ligaments et plus globalement les tissus conjonctifs, ont besoin de collagène. Mais tous n’ont pas besoin du même type de collagène. Par exemple, les os nécessitent du collagène de type I alors que la paroi des vaisseaux sanguins a besoin du collagène de type III. Ce sont les gènes qui expriment la fabrication du collagène qui détermine les différents types. Le collagène de type I est celui qui prédomine, puisqu’il représente 90 % du collagène total du corps. Contrairement à l’élastine, une autre protéine des tissus conjonctifs, le collagène est inextensible et résiste bien à la traction.

À quoi sert le collagène ?

Soutenir la beauté de la peau en travaillant de l’intérieur :

Le processus de vieillissement cutané débute bien avant de se manifester visiblement à la surface de la peau. Dès l’âge de 20 ans, la production de collagène commence à diminuer, s’amenuisant d’environ 1 % chaque année. Petit à petit, les premiers signes de vieillissement s’installent : relâchement cutané, apparition de rides, perte d’élasticité, manque d’hydratation… À l’approche des 45 ans, ce phénomène s’intensifie, atteignant jusqu’à 30 %, puis à l’âge de 60 ans, la peau peut présenter une perte allant jusqu’à 60 % de sa teneur en collagène. Pour soutenir la jeunesse de la peau et des cheveux, l’apport de collagène s’avère donc intéressant, d’autant que plusieurs facteurs entretiennent la perte de collagène : rayons UV, tabac, pollution, stress, alimentation déséquilibrée… La complémentation en collagène permet une meilleure hydratation cutanée et donc un teint plus régulier, éclatant, avec la réduction des rides visibles.

Favoriser la mobilité :

Comme cité ci-dessus, avec l’âge, la quantité et la qualité de collagène naturellement présent dans notre organisme s’amenuisent, ce qui peut entraîner une diminution de la mobilité articulaire, un risque accru de fracture, une perte de force musculaire ainsi que des inconforts articulaires. Pour maintenir une vie active et en bonne santé, la mobilité se doit d’être optimale. Lorsque les structures articulaires présentent des fragilités, certains troubles peuvent apparaître comme les tendinites ou les entorses et mettre en péril l’intégrité de la mobilité. La prise de collagène permet d’améliorer la fonctionnalité globale des articulations, de réduire les douleurs articulaires et d’améliorer la souplesse du système musculosquelettique.

Optimiser les performances sportives :

Que ce soit au niveau des tendons, des ligaments ou des articulations, le collagène contribue à renforcer les bases qui permettent aux sportifs d’optimiser leur performance. C’est aussi un acteur clé dans la régénération musculaire. Le collagène permet de réparer efficacement les fibres musculaires qui, après un exercice intense, subissent des microtraumatismes.

Bien choisir son collagène :

Le collagène est une grosse molécule, que le corps a du mal à utiliser tel quelle. Il est donc intéressant de favoriser l’apport de peptides de collagène, plus facilement assimilables. Il peut également être judicieux de choisir un actif sûr et de haute qualité. En ce sens, Peptan, est constitué de peptides de collagène de faible poids moléculaire (<2 000 Da) hautement digestibles et efficacement absorbés, ce qui lui permet d’être biodisponible seulement une heure après l’ingestion. C’est un collagène de type I, celui le plus présent dans le corps humain. Peptan, fabriqué en France, provient d’une source marine obtenue par la revalorisation des peaux de poissons issus de la pêche alimentaire (upcycling). Il est également labellisé MSC, ce qui garantit des poissons pêchés de façon responsable. Produit en prenant soin de la planète et de ses ressources naturelles, Peptan est un actif breveté propre, traçable, sûr et exempt de tout conservateur ou additif. Son goût et son odeur sont neutres, ce qui facilite sa prise. Se supplémenter en collagène (10 g par jour), au-delà d’apporter une source de collagène via l’alimentation, permet aussi de stimuler la production naturelle de collagène par le corps. L’apport complémentaire de vitamine C sera important et essentiel pour contribuer à la formation normale du collagène.

Que ce soit pour la peau, la mobilité articulaire ou dans le cadre d’une optimisation de performances sportives, le collagène est un soutien naturel pour assurer la santé globale des tissus conjonctifs et se prémunir face à la perte de collagène.

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