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Et si la mort ne signait pas la fin de l’existence ?

Femme regardant un papillon évoquant la vie après la mort

Et si la mort était seulement la fin de la vie physique ?

Si certains y ont déjà pensé, d’autres ne se sont peut-être jamais posé la question suivante : y a-t-il une vie après la mort ? Ou plutôt devrait-on dire y a-t-il une poursuite de l’existence après la mort ?

Nous distinguerons ici la vie de la mort de façon purement scientifique. La vie correspond à un corps avec un cœur qui bat et un cerveau qui fonctionne. La mort biologique, ou disparition de l’individu vivant, consiste dans l’arrêt complet définitif des fonctions vitales, notamment au niveau du triangle cerveau-cœur-poumons, suivi de l’abolition progressive des unités tissulaires et cellulaires.

La croyance en une vie après la mort, ou « existence post-mortem », est l’hypothèse de la survivance de l’esprit, de l’âme ou de la conscience d’un être vivant après sa mort physique. Toutefois, cette hypothèse, tout comme les concepts de vie, de mort, d’esprit, de conscience, etc., font l’objet de controverses, principalement dans le monde scientifique.

L’interrogation sur la vie après la mort est en effet une question à plusieurs fonds : elle touche à des problèmes fondamentaux comme l’origine de la vie, le sens de la vie, le devenir de notre planète, de l’univers… Autant de questions fondamentales sur lesquelles nous manquons de certitude et de preuves scientifiques tangibles. D’ailleurs, l’Occident, fort de sa science rationnelle et matérialiste, semble parfois être totalement détaché de la croyance en la survie de l’âme après la mort, celle-ci n’ayant jamais pu être « démontrée » à proprement parler.

Pourtant, et ce depuis la préhistoire, toutes les civilisations, qu’importe leur religion, ont laissé des traces de croyance en une vie après la mort, chacune avec sa propre représentation de l’immortalité. Les conceptions de forme de vie après la mort diffèrent en fonction des religions. Dans la religion catholique par exemple, il est avancé que l’âme irait au purgatoire au moment de la mort physique. Elle serait ensuite dirigée vers le paradis ou vers l’enfer. Dans le judaïsme, l’âme continuerait à vivre dans un autre monde tandis que le corps resterait sur Terre. Dans d’autres religions telles que l’hindouisme et le bouddhisme, c’est plutôt la croyance en la réincarnation qui primerait. L’âme se détacherait et se réincarnerait dans un autre corps. Enfin, pour certains peuples, aucune continuité de l’existence n’est possible après la mort : c’est notamment le cas des Indiens d’Amérique.

C’est cependant au cœur même de la science et de la médecine moderne que les arguments les plus forts en faveur de la survie de l’âme existent. Les expériences de mort imminente (EMI), les états modifiés de conscience, les récits de vies antérieures, les témoignages de contacts entre le monde terrestre et le monde des défunts… sont autant d’éléments qui amènent à envisager sérieusement la poursuite de l’existence après la mort physique, même si cette hypothèse peut également être remise en question.

Le regard des Français sur la vie après la mort

En 2019, une étude consacrée au regard des Français sur la vie après la mort a été réalisée par l’institut d’études IFOP. Les résultats ont révélé que 31 % des interrogés pencheraient vers une continuité de l’existence de l’âme après la mort, contre 38 % en 1999. Parmi ces 31 %, 14 % considéreraient que l’âme humaine serait immortelle (proportion stable depuis 20 ans). Pour 10 % d’entre eux, l’âme serait en attente de réincarnation dans un autre corps après la mort du corps physique (contre 13 % en 1999). Enfin, pour 7 %, l’âme serait en attente de résurrection des corps (contre 11 % en 1999).

L’évolution de ces chiffres peut notamment s’expliquer par une baisse de la pratique religieuse depuis quelques années. Néanmoins, une nouvelle forme de spiritualité détachée de l’église se développe progressivement, popularisant le concept de vie après la mort. De plus, les témoignages d’expériences en faveur d’une vie après la mort sont de plus en plus médiatisés. La progression de ces croyances tend donc encore certainement à évoluer dans un futur proche.

À propos de la communication avec l’au-delà, 44 % des interrogés ne croient pas en la possibilité de communiquer avec les défunts. 24 % considèrent qu’ils pourraient simplement nous voir et nous protéger, sans qu’aucune communication ne soit possible. Enfin, pour 12 % des Français, il serait possible d’engager un dialogue avec les personnes dans l’au-delà.

Comme dit précédemment, ces croyances ne peuvent être appuyées de façon tangible. L’hypothèse d’une existence après la mort n’est en effet pas basée sur des preuves scientifiques mesurables et palpables, ou sur des tests en laboratoire, mais uniquement sur des témoignages.

Cela soulève donc un débat certain sur la validité de l’hypothèse d’une survie de la conscience après la mort. Malgré tout, depuis déjà quelques dizaines d’années, les scientifiques et chercheurs du monde entier étudient la question de la vie après la mort et nous livrent leurs études.

La vie après la mort étudiée par les chercheurs

Les scientifiques basent leurs analyses sur les témoignages de personnes ayant vécu différentes expériences liées à la mort. Ici nous aborderons uniquement les expériences de mort imminente, les expériences de mort partagée et les contacts avec les défunts.

Les expériences de mort imminente et de mort partagée

Qu’est-ce qu’une expérience de mort imminente (EMI) ?

Il s’agit d’expériences vécues par des personnes ayant frôlé la mort et étant revenues « à la vie ». Les récits de ces EMI constituent des sujets d’étude privilégiés pour les scientifiques. Les EMI peuvent être définies comme la mémoire rapportée d’une variété d’impressions durant un état particulier de conscience : expérience de sortie de corps, émotions agréables, vue d’un tunnel ou d’une lumière, vue de proches décédés, revue de vie, retour conscient à l’intérieur du corps. Ces caractéristiques ont été établies sur la base des milliers de témoignages de personnes ayant vécu une EMI.

tunnel sombre avec une personne qui marche vers la lumière
  • A partir de 3 000 témoignages, 4 grands types d’EMI ont été distingués :
  • Les expériences initiales brèves et sans revue de vie ;
  • Les expériences déplaisantes, avec un vide menaçant, des souvenirs négatifs ;
  • Les expériences plaisantes, avec des thèmes autour de l’amour et de la connaissance ;
  • Les expériences transcendantes collectives, où les thématiques vécues vont au-delà du cadre de référence personnel.

Qu’est-ce qu’une expérience de mort partagée ?

De nombreux témoignages sont rapportés par des proches de personnes décédées, mais également par certains professionnels de santé qui ont l’occasion d’accompagner les personnes en fin de vie. Ces personnes décrivent une lumière mystique qui envahit la pièce au moment même de la mort, l’audition de musique, la vision de défunts proches venant les chercher…

Toutefois, ces témoignages créent un débat indéniable et amènent certaines personnes à mettre en avant des arguments qui vont contre l’hypothèse d’une vie après la mort. Il existe en effet beaucoup de croyances limitantes à ce sujet :

La conscience est créée par le cerveau, si le cerveau s’éteint alors il n’y a plus rien

Le cas de Pamela Reynolds suffit à contrer cette pensée matérialiste. Cette femme a été mise en mort clinique volontairement pour une opération chirurgicale du cerveau (température corporelle abaissée à 15,5 °C et sang remplacé par une solution saline pour éviter une hémorragie intracérébrale). Son cerveau n’avait donc plus aucune chance de fonctionner ni de réagir à quelconque stimulation, ni même de mémoriser quoi que ce soit. Pourtant, à son réveil, cette femme a été capable de rapporter les dialogues ayant eu lieu entre les infirmiers pendant son opération, et les outils opératoires ayant été utilisés. Cela va contre la pensée matérialiste, puisque si la conscience était créée par le cerveau, l’individu avec un cerveau inactif durant l’EMI n’en aurait aucun souvenir à son réveil.

Un grand nombre d’expériences similaires ont pu être relatées, notamment par l’oncologue Jeffrey Long qui a étudié en 2010 toute la littérature disponible sur les personnes ayant vécu des sorties hors du corps pendant leur EMI. Il a relevé que sur les 287 personnes interrogées, 280 avaient fait des rapports complètement exacts des événements matériels survenus durant leur EMI, sans aucune erreur. Aussi, des personnes aveugles ont été capables de « voir » au cours de ces expériences, sans que leur vision physique ne puisse fonctionner. Il s’agit d’éléments en faveur de la séparation de la conscience et du corps physique, théorie qui va dans le sens de la continuité de l’existence de la conscience après la mort.

Ces expériences découleraient de stimulations excessives de certaines parties du cerveau

Selon certains scientifiques, les sorties de corps seraient reproductibles à partir de stimulations électriques du cerveau. Néanmoins, le cerveau est souvent totalement inactif chez les personnes proches de la mort (électroencéphalogramme plat), ce qui contredit cette hypothèse. De plus, ces sorties de corps « programmées » entraînent seulement une vision des parties du corps directement perceptibles par la personne vivant cette expérience provoquée, et non pas une vision de tout son corps ni du milieu environnant comme dans les descriptions des EMI. Des chercheurs ont également montré que les expériences créées par stimulation électrique du cerveau sont quasiment toujours différentes des divers éléments vécus lors d’une expérience de mort imminente.

Les personnes qui vivent des EMI ont des croyances religieuses ou des caractéristiques socioculturelles spécifiques pouvant conditionner leur expérience

L’étude de milliers de témoignages a permis de conclure que les personnes ayant vécu une EMI ne sont pas différentes en termes de caractéristiques socioculturelles ou de croyances religieuses. Il n’existerait donc pas de conditionnements socio-culturels spécifiques et les EMI ne seraient pas liées à des attentes ou à des croyances.

Les EMI arriveraient uniquement chez des personnes avec des pathologies psychiatriques ou neurologiques

lit d'hôpital roulant vers la lumière

Dans son étude, le docteur François Lallier a démontré l’absence de quelconque pathologie psychiatrique ou neurologique associée à une expérience de mort imminente. Il a également démontré au cours de son travail que la prise de médicaments n’avait pas d’impact sur la réalisation d’EMI.

Les EMI découleraient simplement d’une hallucination ou d’un rêve à l’approche de la mort

Les personnes ayant vécu une EMI et rapportant des souvenirs de cette expérience avaient un cerveau totalement inactif à ce moment-là. Cela indique qu’il est impossible d’attribuer les EMI à des hallucinations ou des fantasmes, puisque le cerveau qui cesse de fonctionner est tout simplement incapable de les produire au moment de l’EMI.

Dans leurs témoignages, les personnes disent avoir rencontré des personnes décédées durant cette expérience, dont ils ne connaissaient absolument pas l’existence. Certains s’en rendent compte seulement quelques années après, lorsqu’ils découvrent ces personnes sur des photos souvenirs par exemple. C’est le cas d’un jeune homme qui a rencontré un homme qu’il ne connaissait pas lors de son expérience de mort imminente. Quelques années plus tard, sur son lit de mort, sa mère lui a montré une photo de ce même homme, lui livrant ainsi un secret de famille : il s’agissait de son père biologique.

Les EMI comprennent également un élément appelé la « revue de vie », durant laquelle les individus visualisent tous les événements marquants de leur histoire personnelle. Il est intéressant de se tourner vers cet événement, car il peut être vécu simultanément par les personnes mourantes et les personnes les accompagnants dans leurs derniers instants de vie. Lors de cette revue de vie partagée, les vivants peuvent visualiser certaines scènes de vie de leur proche et ainsi apprendre des choses qu’ils ignoraient jusqu’alors, et qui se révéleront exactes après vérification.

Aussi, certaines personnes (proches, médecins…) disent voir une brume qui s’élève du mourant au moment précis de la mort, ou une lumière, qui a déjà pu être photographiée.

Enfin, un cas célèbre est celui de Maria, une femme qui a été hospitalisée suite à un arrêt cardiaque, dans un hôpital où elle n’avait jamais mis les pieds. Durant son séjour, elle a subi un second arrêt cardiaque, durant lequel elle a vécu une EMI avant d’être réanimée. Son discours à son réveil semblait être tout droit sorti de son imagination. Elle disait s’être déplacée dans l’hôpital, puis en dehors, pour atteindre une des corniches du bâtiment, sur laquelle elle s’était retrouvée face à une chaussure de tennis qui avait selon elle « un trou au niveau de l’orteil et un des lacets coincé sous le talon ». Elle demanda alors à la personne à qui elle racontait cette aventure d’aller vérifier si cela était exact. Il s’avère que cette dernière retrouva la chaussure correspondant parfaitement à la description de Maria, à l’endroit même où elle l’avait visualisée pendant son EMI.

Ces arguments indiquent que les EMI ne découleraient pas simplement d’un rêve, d’une invention de l’esprit ou d’une simple hallucination à l’approche de la mort. De plus, elles ne pourraient de toute façon pas se mettre en place avec un cerveau inactif.

Les personnes peuvent inventer de faux témoignages grâce à leurs connaissances sur les EMI (médias…)

Cela semble possible, mais alors comment expliquer que les EMI vécues par les enfants de moins de trois ans soient identiques à celles des enfants plus âgés et des adultes ? Pourtant, ces enfants n’ont pas eu le temps d’être conditionnés par la culture ou les médias.

Les expériences de mort imminente et de mort partagée peuvent constituer de véritables arguments en faveur de la survie de l’âme post-mortem, toutefois la science n’est, à ce jour, pas en mesure de les valider en tant que preuves tangibles. Il est donc légitime d’en douter.

Après avoir évoqué les expériences vécues par les mourants et leurs proches à l’approche de la mort, abordons à présent les contacts entre les vivants et les défunts, autre justification que la conscience continuerait d’exister au-delà de la mort physique.

Les contacts avec les défunts

main d'adulte transparente sur une main d'enfant, contact avec un défunt

Qu’est-ce qu’un contact avec un défunt ?

Il s’agit de la perception d’un contact via un ou plusieurs canaux sensoriels. Le contact peut avoir lieu spontanément, ainsi le défunt se manifeste à un proche ou à un médium. Le médium est une personne qui serait capable de percevoir les messages des esprits des défunts et de servir d’intermédiaire entre les vivants et les morts. Le contact peut également être provoqué.

Une enquête passionnante s’est penchée sur le phénomène de contact spontané avec un défunt. Plus de 1 000 questionnaires de près de 200 questions ont été remplis par 440 individus français, 416 anglais et 148 espagnols. Dans 34 % des cas, la personne aurait ressenti une présence familière sans pouvoir voir ou toucher le défunt. 43 % ont expliqué entendre la voix de la personne disparue, de façon très réelle. 48 % ont affirmé ressentir un contact physique avec le défunt et 46 % l’auraient vu de façon plus ou moins nette. Enfin, 28 % ont rapporté pouvoir sentir son parfum.

Beaucoup de doutes peuvent être soulevés par ces témoignages :

Le contact peut être rêvé

Certaines personnes qui entrent en contact avec un défunt, que ce soit de façon spontanée ou lors d’un état modifié de conscience (hypnose…), reçoivent des informations précieuses, comme si le défunt leur venait en aide. Un défunt peut par exemple insister pour que son proche aille réaliser des examens médicaux afin de mettre en avant un cancer débutant. Lorsque la personne reçoit les résultats, elle constate étonnamment que le diagnostic du défunt était exact.
Aussi, dans 84 % des contacts avec les défunts, celui-ci a lieu sans que la personne vivante ne soit au courant de la mort du défunt.
Il s’agit donc potentiellement d’un rêve prémonitoire – phénomène qui n’est pas non plus scientifiquement prouvé – ou d’un contact avec la conscience du défunt au moment de partir.

Les médiums peuvent inventer les informations qu’ils disent recevoir

pendule au dessus d'une mainEn France, une expérience a été réalisée et filmée par l’équipe de Stéphane Allix, journaliste et co-fondateur de l’INREES (Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires). Dans cette expérience, les médiums faisaient une consultation pour une même personne, et obtenaient des informations provenant de l’au-delà tout à fait identiques, sans qu’ils puissent connaître les informations reçues par leurs confrères.

Dans des tests strictement contrôlés avec une élimination complète de toute possibilité de fraude ou de biais méthodologiques, certains médiums se révèlent capables de délivrer des informations très précises, vérifiables et exactes sur les personnes décédées avec qui ils communiquent. Une multitude de chercheurs a étudié ces médiums : Garry Schwartz, Tricia Robertson et Archie Roy ou encore Julie Beischel du Winbridge Institute qui a publié un livre regroupant un grand nombre d’expériences réalisées jusqu’en 2013.

Ces expériences sont des hallucinations qui découlent d’un problème psychiatrique

Selon des études sur la santé mentale des personnes disant être en contact avec des défunts, il s’avère que ces dernières sont absolument saines et ne présentent aucun symptôme de maladie mentale.

De plus, les caractéristiques d’une hallucination ne sont pas retrouvées dans ce qui est décrit par les personnes ayant vécu un contact avec un défunt.

Conclusion

Étant donné l’incapacité à prouver scientifiquement la continuité de l’existence de la conscience, les interrogations des sceptiques sur la question sont légitimes et il est facile de remettre en question la véracité des témoignages.

C’est principalement le caractère cumulatif des preuves décrites qui est troublant et qui peut renverser cette septicité. Les recoupements dans les descriptions de personnes n’ayant pas communiqué entre elles constituent la valeur fondamentale des preuves prises dans leur ensemble. Il semble plutôt improbable que la similitude de ces milliers de témoignages se produise par mensonges identiques ou par hasard.

Cette question reste alors finalement en suspens, aucune vérité universelle n’existe, que ce soit sur la question de la vie après la mort, sur l’origine de l’univers et son devenir… toutes ces questions que l’on peut qualifier d’« existentielles » ne trouvent aujourd’hui pas de réponse unique mais des milliers de réponses qui varient en fonction des croyances.

Peut-être qu’un jour nous aurons des preuves incontestables qui affirmeront que tous ces témoignages reposent sur une vérité absolue : la conscience survit à la mort physique du corps.

Références:

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Chambon O., et Riffard M-O. La vie après la mort, pourquoi faut-il y croire? Les preuves scientifiques de la survie de la conscience. 2020.