L’intoxication aux métaux toxiques constitue un problème de santé publique de plus en plus préoccupant. Une récente étude menée par Santé publique France, publiée le mardi 4 juillet 2023, met en évidence un doublement du taux de cancer en trente ans. Elle fait écho aux résultats alarmants de l’étude sur la contamination des eaux du robinet réalisée en avril 2023 et à l’étude Esteban publiée en 2021, sur le taux d’intoxication aux métaux lourds des Français. Nous explorerons les implications de ces découvertes sur la santé publique, mais aussi les moyens de se protéger et se détoxifier de façon naturelle.
Résumé du rapport de l’Institut National du Cancer
Ce rapport a été publié par Santé publique France et l’Institut National du Cancer le 4 juillet 2023. À sa lecture, plusieurs faits marquants ressortent :
. Doublement des cancers en 30 ans de 1990 à nos jours, pour les 2 sexes (+ 98 % pour les hommes, + 104 % pour les femmes).
Les causes principales :
. Augmentation et vieillissement de la population dû à l’arrivée des papys boomers, qui auront plus de 60 ans entre 2006 et 2024. La probabilité d’avoir un cancer augmente avec l’âge.
. Maintien des causes comportementales : alcool, tabagisme, alimentation et augmentation de la sédentarité. Agir sur ces facteurs permettrait de réduire de 40 % les cancers selon l’INCa.
La pollution environnementale, un facteur sous-évalué ?
Pourtant il reste des causes non analysées, comme l’exposition de la quasi-totalité des Français aux métaux lourds, appelés aussi métaux traces toxiques. L’étude Esteban montre un niveau alarmant d’intoxication de la population française.
Plus de 97 % des Français, enfants et adultes, sont contaminés par un ou, souvent, plusieurs des 27 métaux toxiques testés.
Près de la moitié de la population française adulte présente un taux de cadmium supérieur à la valeur recommandée par l’ANSES. On retrouve aussi des dépassements pour l’arsenic, le mercure et le plomb. Le podium de toxicité parmi les métaux lourds !
Les niveaux mesurés en France sont supérieurs à la plupart des autres pays (Europe et Amérique du Nord) sauf pour le nickel et le cuivre.
Bref, une situation préoccupante, dont l’impact sur la santé n’est pas encore véritablement mesuré. Les métaux lourds présentent de nombreux dangers pour la santé humaine. Ils sont connus pour être cancérigènes. De plus, ils sont également tératogènes, ce qui peut entraîner des anomalies du fœtus chez les femmes enceintes exposées à ces substances. Les métaux lourds ont également des effets neurotoxiques, ce qui peut entraîner une dégénérescence cérébrale accélérée, ainsi que des problèmes tels que la dépression, la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer. Chez les enfants, ces métaux peuvent être liés à des troubles tels que l’autisme, l’hyperactivité et les troubles du comportement. De plus, ils favorisent les troubles cardiovasculaires tels que les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les infarctus. Les métaux lourds sont également associés à des maladies métaboliques telles que le diabète et l’obésité. Ils peuvent également contribuer à la fatigue chronique et ils sont systématiquement présents en cas de fibromyalgie et indéniablement liés à l’électro-hypersensibilité !
Les principales sources de contamination par les métaux lourds
Selon l’étude Esteban, les poissons et les produits de la mer peuvent être une source d’arsenic, de chrome, de cadmium et de mercure.
Les implants médicaux peuvent contenir du chrome. Bien sûr, les « plombages » dentaires contribuent à l’exposition au mercure. La consommation de céréales non-bio influence la concentration en cadmium. Le tabac est également associé à une augmentation des concentrations de cadmium et de cuivre dans l’organisme. L’alimentation n’est pas en reste avec les additifs alimentaires et les pesticides. Plus de 63 % des fruits et légumes non-bio sont contaminés par les pesticides en 2020 selon l’ONG Générations Futures analysant les chiffres de la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) !
D’autres sources d’exposition incluent l’aluminium présent dans les cosmétiques, les cafés en capsules, les ustensiles de cuisine. Certains additifs utilisés pour l’alimentation industrielle contiennent des métaux, en particulier l’aluminium ! Enfin, ces métaux peuvent également être présents dans certains médicaments, en particulier certains antiacides et vaccins !
Être conscient de ces différentes sources d’exposition aux métaux traces toxiques permet de prendre des mesures appropriées pour réduire notre exposition à ces substances nocives. Cela implique nécessairement des choix alimentaires judicieux, moins transformés et plus bio, l’utilisation de produits cosmétiques et ménagers sans additifs et métaux toxiques, ainsi que la demande d’une réglementation stricte pour la sécurité des implants médicaux et des médicaments… Mais ce n’est pas tout !
L’eau du robinet, pas si nette !
Au-delà des métaux lourds, il y a aussi les pesticides. Selon un rapport de l’ANSES publié en avril 2023, 50 % des eaux en France testées sont contaminées par des pesticides ou leurs métabolites, et plus de 30 % des eaux du robinet dépassaient les recommandations. Les pesticides et les métabolites « pertinents », c’est-à-dire retenus pour leurs potentiels dangers, sont soupçonnés d’être cancérigènes. Certains pesticides et fongicides se dégradent en d’autres substances également actives, ce qui est intéressant pour l’agriculteur car ils agissent plus longtemps, mais moins pour l’environnement car il se retrouve dans l’eau du robinet pendant plusieurs années.
Parmi les plus présents, il y avait des dérivés du Chlorothalonil, un insecticide interdit en Europe depuis 2019 (2020 en France) et dont certains dérivés sont aussi actifs et dangereux sans que l’on sache combien de temps ils vont perdurer dans l’environnement ! D’autres pesticides persistants sont hélas encore utilisés aujourd’hui en France. La pollution de l’eau du robinet est plus présente en région parisienne et en Loire-Atlantique, où les dépassements ont été observés dans 9 prélèvements sur 10 avec des niveaux de contamination jusqu’à 7 fois supérieurs aux normes ! Les stations d’épuration ne sont pas actuellement conçues pour retirer ces substances.
Réduire sa contamination par l’eau
En attendant une réduction significative des pesticides ou une amélioration des processus de potabilisation de l’eau du robinet, filtrer l’eau du robinet est indispensable. En effet, les eaux minérales en bouteilles en plastique sont souvent contaminées par l’antimoine, un élément toxique utilisé dans la fabrication des bouteilles PET. Plus le liquide reste dans la bouteille plus le niveau de contamination est élevé. Efficaces sur le chlore, les carafes filtrantes sont totalement inopérantes contre les métaux lourds et les pesticides.
Le meilleur compromis est l’utilisation d’un système d’ultrafiltration comme ceux proposés par Hydropure, Doulton ou Berkey, à installer sous ou sur l’évier. Pour les locataires qui ne peuvent pas faire de travaux, il existe certains systèmes qui se fixent sur le robinet ou des purificateurs par gravité proposés par ces mêmes marques, ressemblant à des petits bidons cylindriques en métal. Il est important de choisir une cartouche à charbon compacté avec une capacité de filtration de 0,45 micron ou inférieur. Elles ont la capacité de potabiliser toutes les eaux et surtout d’éliminer les résidus de médicaments et les métaux toxiques grâce à la finesse de filtration. Le coût d’une recharge est d’environ 40 à 60 € pour 10 000 litres d’eau filtrée, soit l’équivalent de six mois à un an de consommation pour une famille. Bien que l’osmose inverse filtre encore mieux, elle n’est pas indispensable pour une eau potable de qualité. Le coût des appareils et des filtres pour l’osmose inverse est deux fois supérieur à celui de l’ultrafiltration, et cela engendre une surconsommation d’eau (2 à 5 litres d’eau polluée éliminés pour 1 litre d’eau filtrée !). Bien que la qualité de filtration soit indéniable, elle ne justifie pas forcément le surcoût par rapport à l’ultrafiltration. Chacun peut donc faire son choix en fonction de ses moyens.
Dans la salle de bains, on utilisera un filtre au charbon pour réduire la contamination par le chlore par l’eau de la douche. En effet le chlore agresse les peaux sensibles, mais surtout, la contamination par la douche peut être plus importante que par l’eau de boisson, car le chlore se volatilise sous l’effet de la chaleur. Son inhalation est préjudiciable pour le système respiratoire en augmentant le risque d’asthme, d’emphysème ou d’irritation des sinus, en plus de pénétrer dans la circulation sanguine. Il existe des pommeaux de douche filtrants, ou des filtres se positionnant sur le tuyau de la douche.
Le scandale des amalgames dentaires au mercure
Les amalgames dentaires d’argent, surnommés « plombages », sont constitués d’environ 50 % de mercure (en masse) et d’un alliage d’argent, d’étain et de cuivre (souvent 80/15/5 %), ainsi qu’éventuellement d’autres métaux mais sans plomb, même si le nom historique est conservé. Bref, comme si mélanger des métaux toxiques pouvait donner une substance neutre dans notre bouche ! Ils sont encore considérés comme sécuritaires en France alors qu’ils sont déconseillés, voire interdits en Suède, en Norvège, au Danemark, au Japon et en Allemagne. Cherchez l’erreur. Tout laisse à penser que ces métaux toxiques sont ingérés lentement et s’accumulent au fil du temps. Phénomène d’autant plus rapide que l’on a beaucoup d’amalgames, ce qui amplifie l’électro galvanisme buccal, c’est-à-dire la création de champs électriques dans la bouche. Ces champs électriques sont mesurables à l’aide d’un électro-galvanomètre buccal (contacter contact@naturebiodental.com pour connaître les dentistes équipés). Ce phénomène est très présent chez les électro-hypersensibles. C’est pour cela que pour eux, retirer les amalgames au plus vite, mais de façon sécuritaire, donne souvent des améliorations spectaculaires.
De plus ce courant électrique, en plus de gêner le fonctionnement électrique du système nerveux, permet un phénomène d’électrolyse, et donc la migration d’ions de substances toxiques, qui sont avalés avec la salive tout en créant souvent une inflammation gingivale.
Se protéger du mercure dentaire
Afin de prévenir l’installation d’amalgame au mercure, exprimez votre souhait avec votre dentiste avant toute opération. Pour combler une carie, préférez les composites dentaires blancs (remboursés par la Sécurité sociale) ou, mieux, les céramiques (plus durables, mais plus chers et moins bien remboursés). Pour les implants, orientez-vous vers le zircon (céramique), et la fibre de verre pour les pivots. Attention, le retrait des « plombages », ces amalgames gris métalliques, doit se faire obligatoirement avec une digue dentaire pour éviter toute contamination lors de l’opération. La double aspiration est insuffisante (voir la chaîne Youtube de Stéphane Tetart sur le sujet). Certaines personnes qui se sont fait retirer les « plombages » sans digue dentaire ont vécu une véritable descente en enfer en 1 mois, avec l’apparition de symptômes comme fatigue intense, brouillard mental, dépression et autres troubles de l’humeur. Tous les dentistes ne sont pas formés à la dépose sécuritaire des amalgames. Ceux qui ont fait cette démarche sont faciles à reconnaître : ils utilisent systématiquement la digue dentaire. Vous pouvez demander à leur assistant.e s’il utilise la digue dentaire lors de la prise de rendez-vous. Vous pouvez demander une liste à jour sur le site www.tetart.com. Cette liste étant informelle, n’hésitez pas à envoyer vos bonnes adresses ! Vous trouverez aussi sur ce même site un protocole avancé pour réduire les risques de contamination lors d’une dépose à base de charbon actif, sélénium et de pectine de citrus modifiée.
Se détoxifier des métaux lourds
Mieux vaut prévenir que guérir. Notre corps a la capacité naturelle à prévenir l’accumulation des métaux toxiques en éliminant ce qui nous intoxique au quotidien, mais encore faut-il lui donner ce dont il a besoin pour faire ce travail. Une alimentation adaptée aide à réduire notablement leurs effets pro oxydants et facilite leur élimination : 
. Une cure sans produits laitiers ni gluten qui améliore souvent les symptômes d’intoxication aux métaux lourds en permettant au foie de mieux fonctionner.
. Les fibres chélatrices, présentes dans les fruits, légumes, algues, légumineuses et céréales complètes, aident à éliminer les métaux lourds par la voie intestinale en les capturant avant qu’ils ne soient assimilés dans le sang.
. Certains aliments riches en antioxydants, comme les graines germées, les fruits et légumes (encore) aident à renforcer les défenses naturelles du corps et à faciliter l’élimination des métaux lourds.
. Les oméga-3, la vitamine E et le zinc sont essentiels pour lutter contre l’oxydation des graisses causée par les métaux lourds. On les trouve notamment dans les poissons, fruits de mer, algues, avocats, fruits à coque, graines, olives, et les huiles végétales.
. Les algues, le kelp, le wakamé et la spiruline sont d’excellentes chélatrices de métaux lourds et peuvent être intégrées dans l’alimentation.
. La chlorophylle, que l’on trouve dans les légumes verts et les algues, favorise la détoxification naturelle.
. Enfin, garder l’habitude de faire une à deux détox du foie par an permet de conserver le plein potentiel de ce précieux organe.
La méthode alimentaire vise d’abord à prévenir l’accumulation et éventuellement à réduire lentement la surcharge de métaux lourds. Si vous soupçonnez une accumulation importante, vous pouvez vous orienter vers les produits détox spécifiques métaux lourds tout-en-un comme Détoxik® (formule sans FODMAP) et Détoxinat® (Formule sans chlorella) des Laboratoires COPMED. En prévention, faire une cure de 3 mois par an. Petite astuce, ces cures peuvent remplacer la classique cure détox annuelle du foie grâce à leur composition qui soutient la régénération du foie et son nettoyage.
Pour une détoxification en profondeur
En cas d’intoxication sévère, ces solutions s’avèrent insuffisantes. On pense souvent à la chlorella pour une détoxification naturelle. C’est effectivement un puissant chélateur, capable de mobiliser et d’accélérer l’élimination des métaux lourds. Tellement puissant, qu’il n’est pas à prendre à la légère et que mal utilisé il peut aggraver la situation. Lorsque, jeune naturopathe, je me suis intéressé à la problématique des métaux lourds, je me suis aperçu que quel que soit le chélateur, il y avait toujours à côté des témoignages positifs, des gens qui avaient empiré, des fois gravement, la situation. Après avoir enquêté, il s’est avéré que la différence se situe entre ceux qui prennent juste le chélateur et ceux qui en plus soutiennent leur foie, organe majeur dans l’élimination des métaux lourds, tout en protégeant leur organisme des conséquences des métaux mobilisés. En effet lors de la mobilisation des métaux, ils circulent dans tout le corps, et font alors des dégâts un peu partout… Quelle que soit la méthode (chlorella, zéolithe, cure Cutler, Acide Alpha Lipoïque, DMPS, DMSA et même les intraveineuses faites par les médecins). J’ai donc conçu un système de détoxification en trois étages :
1. La base-sécurité, pour garantir que les choses vont bien se passer.
Il s’agit d’augmenter l’énergie et donc la capacité de détoxification, de régénérer le foie qui se fragilise à chaque fois qu’il élimine des métaux, et enfin de protéger l’organisme des métaux lourds mobilisés. Ceux qui ont lu l’excellent livre de Françoise Cambayrac « Maladies Émergentes : Comment S’en Sortir ? » se rappellent de la longue liste des compléments qu’elle prenait durant sa chélation chimique. Près d’une vingtaine ! Aujourd’hui les choses ont évolué, on sait soutenir le foie et protéger l’organisme tout en accélérant la détoxification naturelle du foie avec 5 ou 6 compléments multifonctions judicieusement choisis en fonction des données récentes de la science sur la détoxification. 
Cette partie du protocole est si puissante qu’a elle seule, elle permet d’éliminer les métaux, notamment chez ceux qui ne supportent pas les chélateurs. Cet étage divise par 10 le risque de souci de santé par rapport à la chlorella et la coriandre seules. Il est donc indispensable pour se détoxifier en sécurité. On utilise cet étage seul pendant 1 à 3 mois, afin de bien préparer l’organisme avant de rajouter l’étage suivant…
NDLR : Étape 1 “La base-sécurité” : Détoxinat® (Formule sans chlorella)
2. La chélation-chlorella, pour mobiliser les métaux toxiques à l’aide de la chlorella.
En ajoutant cet étage, on se détoxifie 4 fois plus vite qu’avec l’étage précédent seul. La chlorella peut être remplacée par un autre chélateur, comme la zéolithe ou même un chélateur chimique. On continue la cure avec ces deux étages pendant 3 mois pour bien nettoyer le sang et la lymphe (10-15 litres au total) avant d’aller chercher les métaux dans les 30 litres de liquide intracellulaire en ajoutant l’étage suivant.
NDLR : Étape 2 “La chélation-chlorella” : Détoxik® (formule sans FODMAP)
3. Le turbo-coriandre, pour nettoyer l’organisme en profondeur en allant chercher les métaux à l’intérieur des cellules.
Il s’agit bien de prendre les 3 étages en même temps. En général ce nettoyage en profondeur dure 6 mois et parfois plus d’un an. Ce qui fait un total d’un an pour la cure au minimum, mais il faut souvent bien ça pour éliminer des années d’intoxication. Il est très important de garder à l’esprit qu’une bonne cure détox aux métaux lourds ne doit jamais aggraver les symptômes. Si vous avez une amplification des symptômes pendant plus de 3 jours, c’est que vous mobilisez plus de métaux (d’où les symptômes) que votre foie peut en éliminer, et que s’ils ne peuvent pas sortir, ils risquent bien de se loger dans le cerveau (bien plus long à détoxifier). Ce n’est pas ce que l’on recherche. Certains naturopathes inexpérimentés ont confondu les symptômes de la saine crise curative d’une détox classique, avec ceux, dangereux, d’une cure détox métaux lourds. Très sincèrement en cas de forts symptômes à l’origine, je recommande de se faire accompagner par un thérapeute compétent pour éviter les accidents (vous trouverez une liste sur mon site). Mais si vous n’êtes que légèrement intoxiqué, avec des symptômes qui ne sont pas handicapants, je vous recommande mon livre « Halte aux métaux lourds – Enfin la solution », car j’y ai compilé les protocoles les plus courants dans le milieu naturel. Surtout, vous y trouverez, détaillé pas à pas, le protocole à la fois efficace et sécuritaire de détoxification à la chlorella que j’utilise dans mes accompagnements. Vous retrouverez aussi énormément d’informations sur ma chaîne Youtube et mon site internet.
NDLR : Étape 3 “Le turbo-coriandre” : Détoxik® (formule sans FODMAP) et Chlorella synergisée
Je souhaite que cet article puisse vous aider à mieux vous protéger contre les métaux toxiques.
Les principales sources d’intoxication à éviter ! • Le tabac (avec de gros doutes sur la cigarette électronique), • Les produits et aliments non bios (sources de pesticides et d’additifs alimentaires), • Les produits alimentaires, cosmétiques et compléments provenant de Chine, du Bangladesh, d’Inde, du Vietnam, du Pakistan, du Népal, de Myanmar, du Cambodge et du Laos (présence possible d’arsenic et d’autres polluants), • Les ustensiles de cuisine en aluminium et les revêtements antiadhésifs, • L’eau sans ultrafiltration, • Les cosmétiques non bios et les déodorants à base d’aluminium, • Les gros poissons (préférez les petits), • Les amalgames dentaires au mercure, certains vaccins, médicaments et antiacides, • Les produits chimiques que l’on peut inhaler (nettoyage/maison/essence/travail), • Les COV diffusés par les meubles et tissus traités. Extrait de « Halte aux métaux Lourds » par Stéphane Tetart aux Éditions Leduc |
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Stéphane TETART Naturopathe https://www.tetart.com
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