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Bien-être

Ondes électromagnétiques : Des effets biologiques avérés

Ondes  électromagnétiques : Des effets biologiques  avérés

Leur compensation possible par oscillation de compensation (technologie CMO)

Les premiers symptômes liés à une sensibilisation de l’organisme à l’exposition aux ondes électromagnétiques artificielles sont généralement les suivants :

  • Douleurs et/ou sensation de chaleur dans l’oreille.
  • Troubles de la sensibilité (fourmillements, picotements, voire brûlures) au niveau du visage, du cuir chevelu, du bras et/ou de l’avant-bras, ou de la main tenant le téléphone portable ou la souris de l’ordinateur.
  • Maux de tête, associés de façon caractéristique à une raideur et douleur de la nuque.
  • Troubles du sommeil, insomnie, fatigue chronique.
  • Troubles du comportement à type d’irritabilité et de violence verbale.
  • Acouphènes, transitoires voire permanents s’il y a poursuite de l’exposition.
  • Hyperacousie, (intolérance aux bruits, en particulier aux bruits de fond).
  • Troubles visuels à type de vision floue, plus rarement de flashs lumineux.
  • Anomalies de la sensibilité profonde manifestées par l’apparition de sensations de vertiges, lesquelles s’accompagnent parfois de troubles de l’équilibre à la marche.
  • Et surtout très précocement et cela de façon quasi constante, des troubles cognitifs.
    (Ces symptômes sont variables d’un individu à un autre).

Une nécessité d’agir

Ces troubles, s’ils ne sont pas reconnus ou s’ils sont négligés, peuvent évoluer vers un état permanent d’hypersensibilité électromagnétique (EHS).

Trois phases de ce syndrome d’électro-hypersensibilité sont à distinguer :

  1. La phase d’induction : c’est l’entrée dans l’affection ; les symptômes d’électro-sensibilité sont réversibles.
  2. La phase d’état : les symptômes d’intolérance sont de plus en plus sévères et fréquents, causés par des intensités de champs électromagnétiques de plus en plus faibles et concernant un spectre de fréquences de plus en plus étendu. Durant cette phase, les tests biologiques et d’imagerie médicale peuvent être perturbés, mais des formes biologiquement « nues » (sans anomalie biologique décelable), sont observées dans une grande majorité des cas, ce qui fait douter de l’existence d’une affection réelle. Une potentialisation préalable avec certains produits chimiques est retrouvée dans une grande majorité des cas. Les symptômes restent réversibles mais il y a des risques d’électro-sensibilité persistante.
  3. L’évolution à distance : cette phase est irréversible à ce jour.

Il est nécessaire d’agir dès la phase 1, voire en amont préventivement si on veut se donner toutes les chances d’éviter l’entrée dans l’électro-hypersensibilité.
(Ehs-mcs.org de l’ARTAC, Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse, présidée par le Pr Belpomme)

Baisse de la production de mélatonine

Une diminution de 80 % de la mélatonine a été mise en évidence chez des animaux exposés aux ondes électromagnétiques(1). La mélatonine a des propriétés inductrices du sommeil mais également anti-radicalaires, anti-tumorales, et à fortes doses anti-épileptiques. La baisse de mélatonine pourrait entraîner des troubles du sommeil et une fatigabilité pouvant mener à la dépression.

Parallèlement, une étude(2) faite à Sao Paulo sur 32 personnes atteintes de migraines chroniques a mis en évidence que la prise de mélatonine a, pour 80 % d’entre eux, considérablement amélioré leurs maux de tête, voire les a stoppés.

Si on croise ces données, on voit l’importance de ramener le taux de mélatonine à la normale en rendant biocompatibles les ondes auxquelles nous sommes exposés.
(2) Neurology. 2004 Aug 24;63(4):757.Melatonin, 3 mg, is effective for migraine prevention. Peres MF et coll. Hospital Israelita Albert Einstein, São Paulo, Brazil

Impact sur les processus cognitifs

Le rayonnement électromagnétique des ondes téléphoniques a provoqué la baisse de la neurogenèse (-25 %), étudiée sur la régénération des neurones de l’hippocampe. L’hippocampe est le centre cérébral impliqué dans la gestion de la mémoire, de la concentration et dans les capacités d’apprentissage. Cette diminution pourrait engendrer des troubles au niveau de ces fonctions.
D’autre part, la réduction de la taille de l’hippocampe, aggravée par la baisse de la neurogenèse est reconnue comme un des marqueurs de maladie d’Alzheimer.

Les hypothèses les plus récentes, en particulier celles avancées par le groupe de chercheurs Chronimed (sous la direction du Pr Montagnier) pour expliquer l’explosion des pathologies émergentes, s’intéressent aux problèmes d’hyperperméabilité des barrières intestinale et hémato-encéphalique. Une porosité anormale de ces barrières permettrait le passage de toxiques cellulaires, de bactéries (intestinales ou autres), de peptides à fonction opioïde, de métaux lourds. Il en découlerait une inflammation et un stress oxydatif. Or chez l’enfant et même l’adolescent ces barrières, en cours de développement, sont particulièrement sensibles. Selon l’AFFSET, pour les troubles du développement neurologique, les agents environnementaux suspectés sont les polychlorobiphényles (PCB), le plomb et le méthylmercure, neurotoxiques avérés et fréquemment retrouvés dans l’environnement(3).
(3)http://www.afsset.fr/upload/bibliotheque/688458975861202394220243892050/12_troubles_neurologiques.pdf

Ouverture de la barrière hémato-encéphalique, un passage des toxiques facilité

La BHE, barrière « sang/cerveau » met normalement le cerveau à l’abri des substances toxiques véhiculées par le sang périphérique. Or le cerveau de l’enfant est particulièrement sensible et vulnérable à la pénétration des substances toxiques. Si le passage de substances toxiques tels le plomb et le méthylmercure était facilité, on est en droit de s’attendre à la survenue de désordres du développement neurologique.

Le discours du Pr Pierre Aubineau est moins nuancé. Directeur de recherche au CNRS-Université de Bordeaux 2, il a mis en évidence, chez le rat, la perméabilisation de la barrière sang-cerveau par les micro-ondes des téléphones portables. « Il s’agit clairement d’un effet pathologique, prévient-il. Ce phénomène entraîne la formation de micro-œdèmes dans le tissu cérébral et une réaction inflammatoire des méninges. Les tissus cérébraux ne sont pas aptes à se défendre contre une telle intrusion. La migraine en est une conséquence à court terme, réversible. Mais on ne peut exclure, sur le long terme, la survenue de pathologies indirectes. »
(Décembre 2002 – SCIENCES ET AVENIR p. 29 Annie Lobé)

L’impact possible des champs électromagnétiques sur la perméabilité intestinale

La plupart des personnes gardent leur téléphone portable dans leur poche, proche des intestins. Or le téléphone, même non utilisé, communique et recherche en permanence les antennes-relais les plus proches. Cela permet d’être localisé en cas d’appel. Ces émissions électromagnétiques pulsées de micro-ondes et de basses fréquences irradient ainsi de manière quasi permanente les intestins. Cette exposition répétée sur plusieurs semaines, mois et années n’est vraisemblablement pas sans conséquence.

Le système intestinal (côlon et intestin grêle) peut être schématiquement défini comme composé de plusieurs éléments interdépendants : la flore intestinale, la muqueuse intestinale et une interface entre la flore et la muqueuse : le mucus. Ces trois éléments jouent un rôle de barrière physique, chimique et immunitaire vis-à-vis des différents nutriments de l’alimentation et des micro-organismes exogènes. En effet 80 % des cellules immunitaires se trouvent dans l’intestin.

Il a été montré que l’exposition d’organismes vivants aux ondes électromagnétiques des téléphones mobiles augmente la production des HSP (heat shock protéines ou protéines de stress). Ces protéines de réparation sont les témoins d’une agression de l’organisme et en particulier d’une inflammation au niveau cellulaire que les systèmes intégrés de régulation homéostatique tentent de compenser par la surproduction de ces HSP(1)(2).

Cette agression cellulaire induite par les champs électromagnétiques au niveau de la muqueuse intestinale (composée d’une couche unicellulaire) va atteindre en particulier les jonctions serrées qui unissent les cellules intestinales. Il a été montré que ces jonctions serrées, ubiquitaires dans toutes les barrières de l’organisme, peuvent être endommagées par l’exposition au micro-ondes(3). Les mouvements du calcium et sa distribution dans les jonctions serrées ont aussi été retrouvés altérés par l’exposition aux micro-ondes(4).

Ces trois phénomènes conjugués : inflammation de la muqueuse, baisse de l’occlusion des jonctions serrées et modifications de la distribution du calcium dans les cellules intestinales pourraient participer, en synergie avec d’autres agressions (métaux lourds, toxiques environnementaux, perturbateurs endocriniens, produits phytosanitaires comme le glyphosate…) au processus d’induction et de pérennisation du syndrome d’hyperperméabilité intestinale. Ainsi, la muqueuse et ses jonctions fragilisées se trouvent en situation d’être agressées également par le bol alimentaire et par le microbiote et deviennent encore plus perméables.

Pour exprimer cela de façon simple, l’intestin perd son rôle de filtre sélectif et devient une passoire permettant un passage de molécules indésirables plus ou moins grosses (suivant l’importance des lésions) mais aussi de bactéries. Très récemment, des travaux ont également mis en évidence que les micro-ondes perturbent le fonctionnement des récepteurs de la Vitamine D (VDR)(5), dont la dysrégulation conduit à l’apparition de dysbiose, laquelle ouvre la porte aux maladies inflammatoires chroniques et auto-immunes, ainsi qu’à des troubles métaboliques liés au dysfonctionnement du microbiome(6)(7). Nous entrons donc ici dans une cascade de cercles vicieux, car une flore intestinale perturbée est elle-même un facteur de déclenchement et de dysfonction de la perméabilité intestinale.

Les conséquences possibles d’un intestin poreux (leaky gut) sont les intolérances diverses (gluten, protéines de lait…), les intoxications (métaux lourds, pesticides…), la fatigue, une surcharge hépatique, les troubles neuropsychiatriques (autisme, schizophrénie…)(8), les maladies auto-immunes…

Cette liste n’est malheureusement pas exhaustive. Le pionnier en la matière fut le Dr. Jean Seignalet(9) et 20 ans après ses travaux novateurs, de nombreuses écoles ont repris et développé l’entérorhumatologie, l’entéropsychiatrie, thème du dernier congrès mondial de Psychiatrie Biologique et du numéro de Novembre-Décembre de « La Lettre du Psychiatre »(10). La première des protections est de ne pas s’exposer inutilement : éteindre son portable quand on ne téléphone pas, et ne surtout pas le garder proche de zones sensibles du corps humain (intestins, cœur, organes génitaux…).

Pour restaurer une bonne fonction intestinale, il est indispensable avant de traiter flore et paroi, de rétablir une interface fonctionnelle entre flore et paroi, en protégeant de la dégradation le mucus et en évitant une sélection de germes agressifs.

Pour une action globale, associés bien évidemment à une hygiène de vie et une alimentation saine, certains produits peuvent être intéressants comme le quinton isotonique pour les mucines et la propolis pour les germes agressifs dans un premier temps ; puis des probiotiques, de l’aloé véra pour la muqueuse ou du pollen de ciste congelé, ainsi que le produit de santé naturelle PERMEAREGUL® des Laboratoires Copmed(11). Cependant il est nécessaire d’empêcher la première étape du processus, qui est celle d’une réaction adverse à l’exposition.

Des normes de « protection » qui méritent d’être révisées

Les normes encadrant les effets sanitaires des champs électromagnétiques sont basées sur la modélisation d’un réchauffement des tissus biologiques, via un paramètre appelé DAS. Concrètement, le DAS (débit d’absorption spécifique, ou SAR en anglais) va mesurer l’augmentation de la température d’un sérum physiologique contenu dans un mannequin en forme de tête humaine, exposé durant 6 minutes au téléphone portable à tester. Le DAS n’a pas de signification biologique, il donne simplement une indication de la quantité d’énergie déposée dans les tissus. Les normes s’appuient sur ce paramètre DAS : elles sont établies à partir de calculs théoriques et non sur des expérimentations biologiques. Les hypothèses de calculs sont principalement les suivantes :

  • La modélisation est fondée sur l’hypothèse d’une conductivité homogène et isotrope du corps (ce qui revient à accepter de modéliser le cerveau avec de l’eau salée).
  • Les effets à moyen ou long terme ne sont pas pris en considération, ni les effets athermiques. Seuls les effets immédiats sur la santé (chocs, brûlures, élévation de température des tissus) sont retenus.

Avec ces hypothèses, les conclusions de ces calculs théoriques mériteraient d’être discutées : pour définir un risque sanitaire (donc biologique), il convient de réaliser des études sur des modèles qui soient biologiques, puisque même à faible intensité les ondes électromagnétiques peuvent provoquer sur le long terme des désordres biologiques.

Diminuer le DAS, simplement débrancher les alarmes ?

Il existe des systèmes pour artificiellement diminuer le DAS : il suffit d’entraver la bonne émission des hautes fréquences du téléphone portable (pour faire simple, seules les fréquences dans la gamme des micro-ondes provoquent des effets thermiques, non les basses fréquences). Le DAS diminue, mais vous entravez le bon fonctionnement de votre téléphone portable, qui va de

fait chercher à émettre encore plus fort pour réussir à néanmoins capter l’antenne relais. Et dans les zones où vous captiez peu, vous risquez de ne plus rien capter du tout, tout en ayant un téléphone cherchant à augmenter son niveau d’émission.

D’un point de vue biologique, un DAS élevé va provoquer un stress thermique des cellules, et engendrer les réactions « d’inconfort » immédiat classiques, telles que la sensation d’avoir l’oreille qui chauffe ou des maux de tête. Diminuer le DAS reviendrait à débrancher une partie de ces alarmes et maintenir artificiellement l’impression que « pas de souci tout va bien ! », tout en laissant néanmoins passer les basses fréquences, qui sont elles aussi classées en catégorie « 2B » par l’OMS, c’est-à-dire « facteur cancérogène avec des preuves limitées ou possibles », au même titre que le pesticide DDT ou le plomb.

Selon le fabricant du filtre en cuivre (lot 3, en jaune), le filtre réduit de 99 % le niveau en micro-ondes. Le DAS est fortement diminué et c’est logique, mais les paramètres biologiques ne sont pas remis à la normale.

Pour aller plus loin, comprendre la notion de signature électromagnétique

La Terre génère de façon naturelle des ondes électromagnétiques de très faible intensité : ce sont les ondes de Schumann. Elles ont été mesurées vers 1960 à une fréquence (pour le premier harmonique) de 7,8 Hz, c’est-à-dire 7,8 battements par seconde. L’intensité de ces ondes naturelles de Schumann est proche de 1 pT (picoTesla, 1E-12 Tesla), c’est-à-dire un million de fois plus faible que l’intensité émise par un téléphone portable. C’est pour cette raison que ces ondes de Schumann sont très souvent négligées par beaucoup de scientifiques. Ces ondes de Schumann sont cependant 10 fois plus intenses que ce qu’émet le cerveau humain, et dans le même spectre de fréquences. Les ondes de Schumann agiraient comme un chef d’orchestre général de la planète. Ce champ est une pulsation, un « battement cardiaque » de la Terre qui pourrait réguler la vie sur Terre.

Téléphones portables, WiFi, antennes relais et autres ondes électromagnétiques vont alors superposer à ce champ naturel d’autres champs électromagnétiques (artificiels), cohérents car sur des spectres de fréquences similaires. Ce qui revient à mettre plusieurs chefs d’orchestre dans le même ensemble musical, ou à y ajouter un autre orchestre dans la pièce voisine : des dysharmonies peuvent alors survenir.

Répercussions des ondes sur l’organisme :la liaison ion-protéine perturbée

Au niveau cellulaire, les protéines de l’organisme comportent des cavités dans lesquelles se situent différents ions (Calcium, Magnésium, Potassium, Sodium, etc). Ces ions, en dehors de leur fonction purement chimique, présentent des mouvements en oscillation et en rotation. Ces mouvements génèrent des micro-signaux électromagnétiques, à des fréquences précisément identifiées : c’est ce qui définit l’identité électromagnétique de ces ions, ou leur « signature » électromagnétique.

En rotation les fréquences moyennes de résonance sont de 30 Hz pour l’ion Sodium, 35 Hz pour l’ion Calcium, 50 Hz pour l’ion Potassium41, 55 Hz pour l’ion Magnésium, 217 Hz pour l’ion Fer51. Or certaines fréquences générées par l’électronique interne des téléphones portables se situent entre 30 et 40 Hz ; et la modulation de la porteuse se fait à 217 Hz.

En oscillation ces fréquences moyennes de résonance sont comprises entre 1 à 2 GHz pour les ions Calcium et Magnésium ; or ce sont également des fréquences générées par la porteuse des téléphones portables. Ainsi le téléphone va exciter ces différents ions calcium, magnésium, potassium, sodium, etc directement sur leurs fréquences naturelles ; avec pour risque la rupture de la liaison entre l’ion et sa protéine. C’est cette rupture qui peut engendrer les différents « désordres biologiques » abordés dans cet article. Cela peut aussi conduire à des modifications de la concentration intra et extracellulaire de ces ions (calcium notamment), modifications qui peuvent générer toute une cascade physiologique de réactions dont découlent des perturbations biologiques. Pour mémoire, l’ion calcium intervient dans la plupart des réactions biochimiques de la cellule ; sa perturbation risque donc d’impacter bon nombre de systèmes, par exemple le système nerveux et/ou musculaire.

Trouver et valider des solutions face à la pollution électromagnétique

La fonction active des CMO est basée sur une solution saline oscillante, structurée par des champs électromagnétiques de telle façon qu’elle devient alors capable de restituer certaines fréquences spécifiques : c’est le signal de compensation. CMO signifie « Oscillateur Magnétique de Compensation ». Ces fréquences sont conçues pour maintenir la liaison entre les ions et leur protéine, par effet de résonance avec les récepteurs biologiques. C’est ce qui permet aux cellules de l’organisme d’échanger de façon naturelle et normale, malgré la présence du rayonnement électromagnétique artificiel, comme l’ont montré les études citées plus haut. L’objectif est de pouvoir bénéficier des avantages des ondes électromagnétiques (et ils sont nombreux), mais sans leurs inconvénients biologiques.

Il ne s’agit pas de bloquer les ondes on l’a vu, mais de générer des fréquences neutralisantes hyperfaibles, qui vont permettre de compenser les effets biologiques des ondes électromagnétiques. Les validations biologiques ont été mentionnées plus haut sur des paramètres tels que la production de mélatonine, l’ACTH, la production des neurones dans l’hippocampe, pour n’en citer que quelques-unes. Le principe de conception et de fonctionnement de ce système de compensation est assez simple :

  1. en premier lieu il convient d’identifier quelles sont les fréquences électromagnétiques dont il faut neutraliser les impacts. En effet si certaines fréquences sont ressenties comme favorables (c’est le cas de la fréquence de Schumann par exemple), et d’autres fréquences n’ont pas d’impact biologique notable, certaines fréquences sont clairement ressenties comme défavorables. Ce sont les effets de ces fréquences défavorables qu’il convient de corriger.
  2. Des fréquences neutralisantes vont être déterminées en fonction de ces fréquences défavorables. Les fréquences de compensation sont ainsi directement corrélées aux fréquences perturbatrices ; c’est que qui fait la spécificité des CMO et leur efficacité.
  3. Ce sont ces fréquences compensatrices qui vont être utilisées pour structurer un support (une solution saline microcristalline liquide, qui est la solution active des CMO).
  4. Une fois structurée, un post-traitement de cette solution active permet une pérennisation sur plusieurs années de la structuration électromagnétique. Cette solution active est alors capable de restituer un signal hyperfaible, par effet de résonance avec les ondes électromagnétiques extérieures : c’est le signal de compensation. Ces résultats sont à rapprocher des travaux du Dr Benveniste sur la mémoire de l’eau, travaux repris par les Pr Luc Montagnier et Marc Henry dans la vidéo « On a retrouvé la mémoire de l’eau », disponible sur Youtube par exemple. Certes la solution active des CMO n’est pas simplement de l’eau, mais les principes de structuration sont similaires.

Le signal du CMO : hyperfaible, non radioactif ; une compensation en douceur

Le signal de compensation du CMO a une intensité proche de l’émission d’un cerveau, 0,1pT (10 fois plus faible que le champ électromagnétique naturel de Schumann, vu plus haut). Il ne s’agit donc pas d’une pollution supplémentaire. Le CMO est un système passif : ni pile, ni branchement. De même que lorsque vous mettez un tube néon sous une ligne électrique Haute Tension, le tube va s’allumer : il va utiliser le champ électromagnétique extérieur (généré par la ligne électrique) pour entrer en résonance et générer un signal (signal lumineux dans le cas du tube néon). Avec un CMO le principe est analogue : lorsqu’il est en présence de la source électromagnétique polluante (wifi, portable,…), la solution active du CMO va entrer en résonance avec les fréquences pour lesquelles elle est accordée, et générer un micro-signal : c’est le signal de compensation.

Une solution fiable : 25 ans de recul, 10 ans d’expérimentations biologiques

Les CMO sont conçus et adaptés en permanence en fonction des fréquences électromagnétiques à corriger : c’est pour cette raison que les CMO ont des applications spécifiques, les fréquences générées par un ordinateur étant différentes de celles d’un téléphone. Et lorsque ces fréquences évoluent, les CMO évoluent aussi pour toujours parfaitement rester adaptés et corrélés aux fréquences à corriger. Concernant la durée de vie, des tests faits régulièrement en interne montrent que la solution active reste stable dans le temps (les CMO ne se « chargent » pas), même après de nombreuses années. Les premiers CMO datent des années 1990, la technologie continue d’évoluer, depuis 25 ans maintenant.

Quel CMO choisir ?

Choisir son CMO est en réalité très simple, puisqu’ils ont chacun une application bien spécifique :

  • CMO – MP23 pour téléphone portable, tablette, iPad, GPS, babyphone. Il s’agit d’un patch de 2,5 cm de diamètre, à coller sur le téléphone ou sur sa coque de protection
  • CMO – PC15 pour l’ordinateur (fixe ou ordinateur portable)
  • CMO – MF04 pour la maison (Wifi, bluetooth, compteurs électriques communicants, antennes relais, réseaux électriques, etc) ; un cône de 6 cm de hauteur, générant autour de lui une bulle de protection sur 11 mètres de diamètre environ (équivalent à une surface de 100 m² au sol). Existe en version 200 m², ref MF05
  • CMO – TR25, un petit galet à avoir sur soi (dans sa poche, son blouson, son sac), pour une protection individuelle d’environ 4 m de diamètre (avec les mêmes applications que le MF04).

Article rédigé par Grégoire Cautru (ingénieur), en collaboration avec le Dr Marco Paya et le Dr René Messagier. Conseils et distribution des CMO sur : www.cem-vivant.com et en magasin bio.

CEM-Vivant 8 rue de l’Etançon 70250 RONCHAMP – France +33 (0)3 84 20 70 12 info@cem-vivant.com www.cem-vivant.com

(1) J Cell Biochem. 2003 May 1;89(1):48-55. Effects of mobile phone radiation on reproduction and development in Drosophila melanogaster. Weisbrot D1, Lin H, Ye L, Blank M, Goodman R. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12682907
(2) World J Biol Chem. 2012 Feb 26;3(2):34-40. doi: 10.4331/wjbc.v3.i2.34. Modulation of heat shock protein response in SH-SY5Y by mobile phone microwaves. Calabrò E1, Condello S, Currò M, Ferlazzo N, Caccamo D, Magazù S, Ientile R. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22371824
(3) Zhonghua Nan Ke Xue. 2010 Jan;16(1):10-3. [Microwave radiation decreases the expressions of occludin and JAM-1 in rats]. Gao XF1, Wang SM, Peng RY, Zuo HY, Wang LF, Gao YB, Dong J, Su ZT. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20180397
(4) Scanning Microsc. 1993 Dec;7(4):1255-61. Effects of modulated and continuous microwave irradiation on pyroantimonate precipitable calcium content in junctional complex of mouse small intestine. Somosy Z1, Thuróczy G, Kovács J. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8023092
(5) Immunol Res. 2016 Jul 13. [Epub ahead of print] Electrosmog and autoimmune disease. Marshall TG1, Heil TJ2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27412293
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(9) « L’alimentation, la 3º Médecine » 6º Edition
(10) http://www.edimark.fr/lettre-psychiatre/microbiote-ecosysteme-fertile-psychiatrie
(11) PERMEAREGUL® est un complément alimentaire à base de fibres prébiotiques, de nutriments protecteurs (Glutamine, Méthionine, Curcuma, Mélisse, Myrtille…), d’antioxydants, d’enzymes digestives, de vitamines et de minéraux. Il est conçu pour maintenir l’intégrité de la paroi intestinale et en réguler la perméabilité. Il permet de lutter contre les irritations, les inflammations intestinales et l’encrassement humoral.